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- Jean-Bernard Ruggieri, représentant pour l’Afrique subsaharienne d’EDC
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Exportation et développement Canada, société de financement d’entreprises à l’échelle mondiale, ouvre une représentation en Afrique subsaharienne avec des perspectives de développement au Nigéria
Le Nigéria devrait bénéficier des retombées du projet d’Exportation et développement Canada : générer 10 milliards de dollars américains par ses activités en Afrique au cours des cinq prochaines années
L’investissement d’EDC en Afrique subsaharienne est à long terme, et le Nigéria sera un de nos premiers centres d’attention
Exportation et développement Canada (EDC), l’organisme de financement du commerce extérieur officiel du Canada, a réaffirmé aujourd’hui son engagement à favoriser le développement des affaires en Afrique subsaharienne en ouvrant une représentation permanente à Johannesburg, en Afrique du Sud.
EDC, l’un des organismes de crédit à l’exportation les plus grands et les plus progressistes du monde, a facilité des activités entre entreprises africaines et canadiennes qui auront généré plus de 7,4 milliards de dollars américains ces cinq dernières années, dont 235 millions grâce aux affaires avec le Nigéria. EDC offre du financement aux sociétés, banques et maîtres d’ouvrage de projets subsahariens qui font ou feraient volontiers affaire avec des entreprises canadiennes ou leurs entités affiliées dans la région.
Au Nigéria, EDC travaillera d’abord à favoriser les échanges entre les entreprises canadiennes et locales des industries extractives et des secteurs de l’infrastructure, de l’énergie, du transport et des TIC.
« Riche de 70 ans d’expérience en financement international et d’un volume d’affaires mondial de près de 100 milliards de dollars américains par année, EDC a le capital et l’expérience nécessaires pour traiter des transactions de toute envergure pour les entreprises subsahariennes. L’investissement d’EDC en Afrique subsaharienne est à long terme, et le Nigéria sera un de nos premiers centres d’attention. Nous avons l’intention de devenir un partenaire de croissance pour les banques et les sociétés avec lesquelles nous tisserons des relations », déclare Jean-Bernard Ruggieri, le premier représentant en chef d’EDC pour l’Afrique subsaharienne. « C’est ce qui distingue EDC des autres acteurs du secteur financier : nous mesurons notre succès à l’aune de celui de nos clients. En plus d’offrir des solutions de financement innovantes et fiables, nous pouvons aussi faire office de recruteurs de talents dans la chaîne d’approvisionnement. »
Tandis qu’EDC s’implante progressivement sur l’ensemble du continent africain, ses principaux secteurs d’intérêt sont les produits de base, l’infrastructure, les TIC, les technologies propres, le transport et l’agriculture. En outre, l’industrie légère ainsi que les soins de santé et les sciences de la vie sont des secteurs émergents dans la mire d’EDC à moyen terme. « Les entreprises canadiennes ont de solides capacités dans tous ces domaines, et peuvent offrir des biens, des services et une expertise dont l’Afrique a besoin pour développer ces secteurs névralgiques », explique M. Ruggieri.
EDC est dotée d’un modèle hautement flexible qui lui permet de générer un maximum de valeur pour ses clients et ses partenaires. « Que nos clients soient présents sur des marchés développés ou en développement, nous pouvons leur donner accès à un capital adapté à leur situation particulière, affirme M. Ruggieri, et nous sommes tout à fait en mesure de répondre aux besoins financiers des entreprises subsahariennes qui veulent commercer avec le Canada, qu’elles aient besoin de financement pour un seul contrat, ou de fonds pour des dépenses d’investissement. De plus, si elles n’ont aucune relation d’affaires au Canada, EDC pourra les aider à trouver des partenaires appropriés pour leur chaîne d’approvisionnement. »
EDC tire une grande fierté de son approche de partenariat reposant sur la participation de multiples parties prenantes. « Nous collaborons étroitement avec toute une gamme d’institutions financières telles que des banques internationales et sud-africaines, en plus de déployer nos efforts partout en Afrique avec l’aide du Service des délégués commerciaux du Canada. En outre, notre modèle prévoit souvent des structures de syndication avec divers services financiers participants, explique M. Ruggieri. L’Afrique a d’immenses besoins d’infrastructures et un marché des prêts en pleine croissance. Dans ces conditions, EDC cherchera à générer des affaires d’une valeur globale de 10 milliards de dollars américains sur ce marché au cours des cinq prochaines années. »
EDC compte aussi des représentations permanentes à Bogotá, Rio de Janeiro, São Paulo, Lima, Mexico, Monterrey, Santiago, Shanghaï, Beijing, Singapour, Mumbai, New Delhi, Moscou, Dubaï, Istanbul et Düsseldorf.
Distribué par APO Group pour Export Development Canada.
Contacts presse
Hill & Knowlton Strategies
Craig Atherfold
craig.atherfold@hkstrategies.co.za
T + 27 11 463 2198
M + 27 83 718 2003
Export Development Canada
Phil Taylor, Chief Spokesperson, EDC
ptaylor@edc.ca
T (613)598-2904
À propos D’EDC
Organisme de financement du commerce extérieur du Canada, EDC offre des services financiers aux entreprises qui font des achats auprès d’entreprises canadiennes ou dont la chaîne de valeur comprend un fournisseur canadien de produits ou de services. Le financement d’EDC peut servir à couvrir les dépenses d’investissement ou à financer un projet, que ce soit au moyen de mécanismes bilatéraux ou généraux. Obéissant à des principes commerciaux, EDC adopte une philosophie privilégiant les partenariats qui consiste à collaborer avec les institutions financières du secteur privé afin de partager les risques et d’accroître la capacité en matière d’échanges commerciaux avec le Canada. EDC, qui souscrit à la responsabilité sociale des entreprises, prend en considération les incidences environnementales et sociales de ses transactions.